Considérations sur un privilège d'outre-tombe : le droit de litre ou de ceinture funèbre dans l'ancienne France - Institut d'Histoire du Droit Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Cahiers poitevins d'Histoire du droit Année : 2024

Considérations sur un privilège d'outre-tombe : le droit de litre ou de ceinture funèbre dans l'ancienne France

Didier Veillon

Résumé

Parmi les droits honorifiques dont disposaient certaines personnes dans les églises de l'ancienne France, l'un des plus singuliers était sans conteste celui de litre, dit encore de ceinture funèbre. Selon le jurisconsulte Mathias Maréchal (1561-1645), la litre était « une trace de peinture, de largeur d'un pied et demi, ou de deux ou plus, de couleur noire autour d'une chapelle ou église, mémoire et signe de deuil du sieur patron de l'église, ou du seigneur du lieu, les armes du défunt étant peintes sur divers endroits de cette trace ». La présente communication vise à analyser les titulaires de ce droit de litre et les conditions de son exercice.

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Dates et versions

halshs-04545949 , version 1 (14-04-2024)

Identifiants

  • HAL Id : halshs-04545949 , version 1

Citer

Didier Veillon. Considérations sur un privilège d'outre-tombe : le droit de litre ou de ceinture funèbre dans l'ancienne France. Cahiers poitevins d'Histoire du droit, 2024, 14, pp.209-219. ⟨halshs-04545949⟩

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